Pour une écologie des territoires, la liste d'Alain ROUSSET, Nos Territoires Nos énergies pour les Régionales en Nouvelle Aquitaine

Pour une écologie des territoires!

Je suis candidat aux élections Régionales sur la liste « Nos territoires nos énergies » menée par Alain Rousset.

Je suis très honoré de la confiance que m’accorde Alain ROUSSET.

Nous avons travaillé ensemble à la CUB entre 2005 et 2007 où j’avais apprécié sa volonté de remettre de l’ordre dans les délégations de service public, notamment le contrat de l’eau.

Aujourd’hui, l’action  d’Alain Rousset à la Région est saluée par de nombreux acteurs et au niveau environnemental il a su engager cette Région vers la transition écologique notamment avec le projet NEO TERRA.

Ce projet est un véritable exemple de prise de conscience écologique mais surtout d’actions concrètes qui sort des incantations stériles.  

Pour réussir, la transition écologique doit « embarquer » tout le monde même si cela doit prendre plus de temps.

Dans cette élection si particulière, je souhaite promouvoir cette écologie responsable en lien avec les réalités de terrain : une écologie des territoires soutenue par le parti Liberté Ecologie Fraternité.

Il est nul besoin de rappeler que cette élection se déroule dans un contexte  inédit.

Inédit aussi est l’émergence de l’écologie comme un des éléments et des enjeux  clés de ces élections. En effet la transition écologique que presque tout le monde appelle de ses vœux ne pourra se faire sans les territoires.

Pour faire simple, la crise climatique de plus en plus visible à laquelle s’ajoutent la perte de biodiversité, la crise alimentaire et sanitaire la raréfaction des ressources et les pollutions est devenue au même titre que le social ou l’économique ou la sécurité un sujet de premier plan qui préoccupe et inquiète les français.

Ainsi, les enjeux actuels imposent une politique qui prend à bras-le-corps notre dépendance aux énergies fossiles, à l'agriculture productiviste ou encore la réorientation de la politique des transports. Mais l'écologie porteuse de ces enjeux remet aussi en question un certain nombre de certitudes : elle s'attaque aux lobbies, au modèle de développement ultralibéral qui épuise nos ressources jusqu'à en modifier le climat. La crise que nous vivons interroge profondément notre mode de vie et ses usages.

La pandémie a ajouté une couche supplémentaire en mettant en avant la fragilité de nos sociétés dont la vulnérabilité  a brisé des vies ..et des dogmes

 Il faut tirer les enseignements de cette période. Nous avons besoin d’écologie pour répondre au défi climatique, à la perte de biodiversité. Nous avons besoin également de social, d’équité, de solidarité et d’humanité mais aussi de responsabilité et de fraternité. 

Avec les citoyens des régions et de la société civile, il  est du devoir des élus de proposer un nouveau dessein, une vision à partir de la vie locale et territoriale.  

Une transition écologique réussie doit prendre en compte les aspirations diverses de la société. Toutes les couches sociales doivent adhérer à ce nouveau dessein. Les aspirations, les besoins des ouvriers, des salariés, des commerçants et artisans, des chefs d’entreprises, des agriculteurs, des ruraux doivent être intégrés. L’écologie ne doit pas être l’apanage d’une élite bien-pensante avec ses codes et un mode de vie excluant mais elle doit faire l’effort de proposer des choix forts pour des enjeux qui ont un sens et répondent à l’urgence mais en fédérant le plus largement la population.

Il nous faut inventer un modèle positif qui encourage et incite économiquement et socialement les comportements de terrain vertueux pour engager une transition écologique et positive qui parle à chacun d'entre nous. 

Passer d’une activité conventionnelle, (agriculture, restauration, recyclage etc) vers un modèle de développement plus responsable écologiquement, générant moins de nuisances, nécessite des investissements, de penser différemment comme l’approche économie circulaire, de changer les comportements individuels dans une approche plus collective et partagée.

La croissance verte, l’économie circulaire doivent être promus.

Le rôle des collectivités territoriales et notamment de la Région doit être central. C’est à partir d’elles qu’une politique de terrain peut se mettre en œuvre et fédérer l’ensemble de la société. Les incitations et les exemples doivent aussi être locaux. Le projet NEO TERRA proposé par Alain Rousset est bien cette  boite à outil pour accélérer la transition au niveau local.

Je me retrouve pleinement dans cette démarche qui s’appuie sur des bases solides et robustes et qui a pour ambition de fédérer citoyens et acteurs de terrain pour une transition réussie, une écologie des territoires.

Gérard CHAUSSET

Adjoint au Maire de Mérignac et Président de la commission Transport de Bordeaux-Métropole