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Mobilité faire de TransGironde le transport de ceux qui ne peuvent pas faire autrement, aussi le transport de ceux qui veulent faire autrement

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En Septembre 2010 nous sommes à l’origine du passage à la tarification unique, 2€50 http://www.gerardchausset.fr/trans-gironde-un-des-reseaux-les-plus-chers-de-france-les-verts-europe-ecologie-demandent-philippe, regardez le reportage de l’époque, pour mémoire, le transgironde était un des plus chers de France, il fallait 12.5€ pour faire Bordeaux Andernos soit 25 euros A/R.
De la même façon nous demandons la mise en œuvre de lignes express, un réseau de soirée avec retour à 20 et 22 heures et une gouvernance unique avec un pass unique http://www.gerardchausset.fr/transgironde-bien-mais-peut-mieux-faire-eelv-formule-trois-propositions-des-lignes-express-un-r%C3%A9seau
 
Développer un réseau de soirée avec retours tardifs à 20 h et 22 heures

  • développer les aires de co-voiturage ; les pistes cyclables, les circuits pédestres ;

Article de Sud Ouest
Il reste du chemin à faire
La remise à plat du réseau de cars est un succès mais l’accès à la métropole reste problématique.
l.bosdecher@sudouest.fr
En moins de dix ans, la Gironde a vécu deux révolutions dans le domaine de la mobilité. La première était obligatoire. Le Conseil général a absorbé 500 kilomètres de routes nationales en 2007. La majorité départementale a aussi, en 2012, fait le pari de remettre à plat le réseau de cars TransGironde en proposant une tarification unique sur toutes les lignes. Cette refonte, mise en place en septembre 2012, a eu des effets immédiats. Le nombre d'usagers a doublé en l'espace d'une année. La Gironde partait de loin. « La fréquentation n'était pas satisfaisante à nos yeux, se souvient Christine Bost, vice-présidente socialiste en charge des mobilités. Nous sommes allés observer ce qui se passait dans les autres départements et avons constaté que nous pouvions mieux utiliser l'argent public dans les transports en commun. »
Le car est encore trop lent
En trois ans, le réseau TransGironde est passé du mauvais au presque meilleur élève de la classe. Les voyageurs ont accès aux horaires de passage en temps réel, peuvent acheter leur billet de manière dématérialisée et profiter de passages toutes les 15 à 20 minutes en heures de pointe sur les lignes les plus fréquentées.
Sur Bordeaux-Lège-Cap-Ferret et Bordeaux-Langon, ils circulent à bord de e-c@rs, équipés en Wi-Fi et prises électriques pour recharger téléphones, tablettes et ordinateurs avec une fréquence toutes les 15 à 20 minutes en heures de pointe.
Les publics se sont diversifiés, les usages de ce mode de transport aussi. Le week-end par exemple, les lignes en direction de Bordeaux sont souvent bondées. Même phénomène vers le littoral en été. « Nous avons encore du chemin à faire, reconnaît Christine Bost. Le car souffre d'une image désuète alors qu'il est aujourd'hui confortable, sécurisant et performant. » Il n'empêche. Un Bordeaux-Blaye prend 1 h 30 au minimum, 40 minutes en voiture en dehors des heures de pointe.
En Gironde, les habitants continuent à plus utiliser leur voiture qu'ailleurs (68 % des déplacements). Ils y passent aussi de plus en plus de temps, surtout pour leur trajet domicile-travail. Matin et soir, la rocade est engorgée. Parfois même en journée. Les prix élevés de l'immobilier ne cessent de repousser au-delà de la métropole un grand nombre de foyers.
Nouvelle piste : le covoiturage
Le groupe Majorité départementale milite, comme la plupart des autres formations politiques se présentant ce dimanche aux élections, pour la mise en place d'un syndicat mixte de transport à l'échelle du département qui gérerait à la fois le réseau TER, le réseau des trams et bus de la métropole (TBC) et TransGironde.
Aujourd'hui, les usagers peuvent avec les billets Modalis combiner des voyages sur les réseaux TER et TBC ou sur les réseaux TransGironde et TBC, mais pas sur les trois réseaux en même temps.
« Les transports en commun ne régleront pas tout », tempère l'élue socialiste. Ces dernières années, le Conseil général s'est positionné comme organisation pilote du covoiturage dans le département. Il a ouvert 64 aires proposant 1 000 places de stationnement et gère une plate-forme (covoiturage.transgironde.fr) mettant en relations conducteurs et passagers. « Une politique publique de bon sens et peu coûteuse », estime Frédéric Perrière, directeur général adjoint des services techniques de la collectivité.
Le Département s'est aussi efforcé, lors de réfections de voiries départementales ou à proximité des collèges, de créer des pistes cyclables sécurisées pour inciter les Girondins à prendre leur vélo pour leurs déplacements courts.
Le télétravail est une autre piste. Rapprocher les zones d'emploi des lieux de vie serait la solution idéale. Pas si simple dans le plus vaste département de France.
Nous donnons ci-dessous la parole aux cinq groupes politiques présentant le plus grand nombre de candidats aux élections départementales les 22 et 29 mars.
Demain : nous développerons le volet culture du Conseil général.
6 446 kilomètres de routes en Gironde sont départementales. 640 agents répartis sur six centres routiers départementaux s'en occupent. La collectivité est aussi propriétaire de 1 800 ouvrages d'art.
2,60
En euros, le prix d'un aller sur une des 80 lignes TransGironde (4,20 € l'aller-retour). Le réseau de bus a comptabilisé 1,8 million de voyages l'an dernier (hors scolaires). La ligne Bordeaux-Lège-Cap-Ferret est la plus fréquentée, suivent la Bordeaux-Blaye puis la Bordeaux-Langon.
 

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