Les 49 de la liste d'Alain ANZIANI

La liste menée par Alain Anziani a été officiellement présentée hier. Selon son chef de file, elle fera campagne pour le « changement dans la continuité ». Sourires de circonstance hier matin devant la permanence d'Alain Anziani, pour l'intronisation des colistiers du candidat à la succession de Michel Sainte-Marie. Les poignées de main et tapes sur l'épaule se succèdent pendant que l'actuel adjoint répond aux questions de la presse. Mais si l'ambiance demeure bon enfant, le chef de file socialiste reste prudent et rappelle que le combat n'est pas gagné d'avance : « C'est une bagarre, chaque scrutin est une bagarre » précise-t-il. Les quarante neufs noms sont vite dévoilés (voir par ailleurs), sans surprise majeure : « Nous avons repris les habituels, avec 14 départs, et l'arrivée de 21 nouveaux. « Les habituels » Au total, la liste se renouvelle à 40 % ». Une mention particulière est faite à l'arrivée d'une représentante PRG, Régine Marchand, en 8e position. Après les 3 premières places au PS, Claude Mellier du PCF précède Gérard Chausset d'Europe Écologie-Les Verts. « La liste s'est diversifiée analyse Alain Anziani. Nous nous félicitons d'ailleurs de l'arrivée de notre benjamine, Mélanie Sarlac, âgée de 19 ans. » C'est l'arbre qui cache la forêt. Car la jeune femme « votera pour la première fois et votera certainement pour elle », le reste des candidats a déjà eu l'occasion de fréquenter les isoloirs à maintes reprises. La moyenne d'âge frôle les 54 ans. « C'est une liste d'expérience, se justifie Alain Anziani. Pour exercer des responsabilités à la mairie, il faut en avoir les capacités. On a privilégié les gens qui ont déjà exercé de responsabilités. » Pas de changement des taux Quatre grands axes dominent le programme du groupe où se retrouvent de très nombreuses catégories professionnelles de la vie mérignacaise. Alain Anziani, qui promet de ne pas toucher aux taux de calcul des taxes locales, entend ?uvrer sur la proximité à travers la rénovation des équipements éducatifs, proposer des logements accessibles à tous, maintenir une qualité de service et continuer de développer l'emploi. Tout cela dans un contexte économiquement difficile. « Les temps sont durs. Nous devons faire aussi bien mais avec moins ». La référence à l'héritage municipal est incontournable, et assumée. « Nous voulons le changement dans la continuité ».

Les 49 noms

Alain Anziani, 62 ans ; Marie Récalde, 47 ans, Thierry Trijoulet, 54 ans ; Claude Mellier, 65 ans ; Gérard Chausset, 52 ans ; Anne-Eugénie Gaspar, 43 ans ; David Charbit, 40 ans ; Régine Marchand, 61 ans ; Alain Charrier, 53 ans ; Cécile Saint-Marc, 52 ans ; Jean-Marc Guillembert, 63 ans ; Martine Berjot, 56 ans, Lionel Azoughali, 44 ans ; Sylvie Cassou Schotte, 56 ans ; Bernard Leroux, 58 ans ; Monique Poitreau, 66 ans ; Daniel Margnes, 59 ans ; Fatou Diop, 50 ans ; Joël Girard, 55 ans ; Lean Beaulieu, 52 ans ; Valery Laurand, 41 ans ; Marie-Christine Ewans, 56 ans ; Jean-Michel Bertrand, 53 ans ; Joëlle Leao, 56 ans ; Pierre Girard, 57 ans ; Martine Chapeyrou, 56 ans ; Jean-Claude Pradels, 62 ans ; Mauricette Boisseau, 65 ans ; René Saba, 67 ans ; Michèle Courbin, 69 ans ; Christian Dedieu, 63 ans ; Gwenaëlle Girard, 47 ans ; Alain Lamaison, 63 ans ; Anne Couplan, 40 ans ; David Valade, 34 ans ; Catherine Darteyre, 55 ans ; Stéphane Gaso, 46 ans ; Mélanie Sargeac, 19 ans ; Patrice Souchal, 54 ans ; Fatou Thiam, 41 ans ; Jean-Louis Couronneau, 60 ans ; Émilie Marchès-Ouzitane, 39 ans ; Jean-Charles Astier, 42 ans ; Florence Baudry, 52 ans ; Olivier Lavigne, 42 ans ; Julmie Kervenic, 50 ans ; Jean-Marie Arnaud, 64 ans ; Amélie Audoit, 34 ans et Jean-Claude Lacassagne.

Sourires de circonstance hier matin devant la permanence d'Alain Anziani, pour l'intronisation des colistiers du candidat à la succession de Michel Sainte-Marie. Les poignées de main et tapes sur l'épaule se succèdent pendant que l'actuel adjoint répond aux questions de la presse. Mais si l'ambiance demeure bon enfant, le chef de file socialiste reste prudent et rappelle que le combat n'est pas gagné d'avance : « C'est une bagarre, chaque scrutin est une bagarre » précise-t-il. Les quarante neufs noms sont vite dévoilés (voir par ailleurs), sans surprise majeure : « Nous avons repris les habituels, avec 14 départs, et l'arrivée de 21 nouveaux.

« Les habituels »

Au total, la liste se renouvelle à 40 % ». Une mention particulière est faite à l'arrivée d'une représentante PRG, Régine Marchand, en 8e position. Après les 3 premières places au PS, Claude Mellier du PCF précède Gérard Chausset d'Europe Écologie-Les Verts. « La liste s'est diversifiée analyse Alain Anziani. Nous nous félicitons d'ailleurs de l'arrivée de notre benjamine, Mélanie Sarlac, âgée de 19 ans. »

C'est l'arbre qui cache la forêt. Car la jeune femme « votera pour la première fois et votera certainement pour elle », le reste des candidats a déjà eu l'occasion de fréquenter les isoloirs à maintes reprises. La moyenne d'âge frôle les 54 ans. « C'est une liste d'expérience, se justifie Alain Anziani. Pour exercer des responsabilités à la mairie, il faut en avoir les capacités. On a privilégié les gens qui ont déjà exercé de responsabilités. »

Pas de changement des taux

Quatre grands axes dominent le programme du groupe où se retrouvent de très nombreuses catégories professionnelles de la vie mérignacaise.

Alain Anziani, qui promet de ne pas toucher aux taux de calcul des taxes locales, entend œuvrer sur la proximité à travers la rénovation des équipements éducatifs, proposer des logements accessibles à tous, maintenir une qualité de service et continuer de développer l'emploi. Tout cela dans un contexte économiquement difficile. « Les temps sont durs. Nous devons faire aussi bien mais avec moins ». La référence à l'héritage municipal est incontournable, et assumée. « Nous voulons le changement dans la continuité ».