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30 mai 2011 09h47 | Par Olivier delhoumeau | 1 | commentaire(s) |
Mérignac
La Ville de Mérignac va lancer une étude pour évaluer l'impact de la restauration du mur d'enceinte du parc de Bourran. L'addition pourrait être corsée.
Sa santé s'était soudainement dégradée au cœur de l'hiver. Peu avant Noël. Des pierres étaient tombées en tas sur le trottoir de l'avenue de Verdun.
Le trou dans la paroi était tel que le Conseil général, la ville de Mérignac et la direction de l'IUFM s'étaient promptement penchés à son chevet afin de parer au plus pressé. La concertation s'était déroulée sous l'œil de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac).
Explication : le mur d'enceinte du parc de Bourran est solidaire de son environnement, en particulier du château. Un ensemble inscrit sur l'inventaire supplémentaire des bâtiments historiques.
Déplacement impossible
Pour limiter la contagion des dommages, les différentes parties prenantes avaient opté pour l'application d'une plaque de tôle sur la plaie, en guise de pansement.
Jeudi soir, le sujet de la restauration du mur de Bourran est revenu sur le devant de la scène. Les élus étaient appelés à se prononcer sur le lancement d'une étude. Son objet : définir un programme pluriannuel de restauration d'un espace protégé regroupant le mur et le parc. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le dossier embarrasse. Les élus redoutent en effet une forte dépense.
La difficulté tient à l'ampleur de l'ouvrage maçonné. Celui-ci s'étend sur un linéaire d'environ un kilomètre, quadrillant les axes de Verdun, La Marne et Alfred-de-Musset. « En début de mandat, j'avais évoqué des problèmes de sécurité dans la rue Musset. Plus qu'une restauration, avez-vous envisagé un déplacement du mur à cet endroit ? », soulève Vincent Coeurderoy (UMP). Qui verrait d'un bon œil la création d'un trottoir digne de ce nom. « Cette demande a été faite il y a plusieurs années. À l'époque, cela n'était pas possible. Ça ne l'est pas plus aujourd'hui. On nous a même reproché les trouées aménagées pour pénétrer dans le parc », détaille l'élu écologiste Gérard Chausset.
Difficile d'imaginer dans ces conditions la création d'un passage piéton à l'intérieur du parc, longeant la rue Musset.
Sans compter qu'il aurait fallu installer des lampadaires pour sécuriser ce cheminement.
Finalement, la solution pourrait venir d'une modification du plan de circulation dans le quartier. « Des riverains ont fait des propositions dans ce sens. D'aucuns préconisent la mise en sens unique de cette voie. On va se pencher sur la question », assure Gérard Chausset, conforté par le maire.
« Un tas de pierres »
La seule hypothèse viable ? Xavier Svahn (Les Verts) s'en étonne. « Mais enfin, quels sont les critères des Bâtiments de France pour dire que ce mur est intangible ? Je suis surpris que ce tas de pierres puisse avoir une valeur patrimoniale. » Et l'élu de le comparer avec la Tour de Veyrines. « Là, je comprends, il y a une œuvre architecturale. Mais ce mur… Je le répète, ce tas de pierres va générer des dépenses très importantes. » Son intervention n'est pas loin d'emporter l'adhésion générale. « La façon dont les pierres ont été scellées importe tout autant que l'aspect esthétique », avance, sans conviction, son collègue Gérard Chausset.
« Ils (les Bâtiments de France) ont été plus souples en matière d'urbanisation autour de la Vieille-Église », tacle Vincent Cœurderoy, pointant les nouveaux immeubles de la ZAC du centre-ville. « Ils ont donné leur accord. L'histoire nous montre que l'habitat était très dense autour des cathédrales », réplique le maire, avant de faire procéder au vote.
Le coût prévisionnel de l'étude globale (mur et parc) s'élève à 12 000 euros.
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30/05/2011, à 08h05
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